EXPOSITION DE KLEINE GALLERY

Carmen Acosta Sanchez

Née à Bogota . Vit et travaille en Belgique.
Licenciée en arts plastiques visuels et de l’espace de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, option tapisserie ( professeur Yole Devaux ) en  2004.
Carmen utilise le fil sur des supports à la fois souples, car elle privilégie la flexibilité, à ses yeux nécessaire au monde, et transparents, pour les lectures multiples que leur limpidité permet : celle de l’écriture inscrite sur le support lui-même et celles présentes sur les couches qui lui succèdent.
Le fil, les points expriment d’abord sa parole, mais grâce aux plans multiples, sa voix n’est plus unique : plusieurs chants s’élèvent dans une composition harmonieuse .

WANG Zhiyin

Est née en Chine en 1976 et vit à Bruxelles depuis 2000.
Elle est licenciée en arts plastiques visuels et de l’espace de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, option tapisserie (professeur Yole Devaux en 2006) .
Elle travaille dans une société de collaboration belgo chinoise.
Sa production artistique, tant ses tapisseries que ses assemblages de petites branches, a pour thème la Nature.
Elle utilise la symbolique que l’on retrouve dans la peinture chinoise pour, avec des fils, de laine, de lin, de viscose, dire les étapes de la Vie.
Avec des branchages et du raphia, elle écrit de sa voix métissée, des odes à l’Univers.

Nadia M’Nasri

Née à Uccle le 26 juillet 1981
Licenciée en arts plastiques visuels et de l’espace de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, option tapisserie ( professeur Yole Devaux ) en 2007

Expositions :
2004 : Silly : Noël des Artistes
2004 et 2005 : Leffe : «  Chez Cornille, passages d’artistes »
2005 : Sélection au concours de carton de tapisserie organisé par le Domaine de la Lice, Fondation de la Tapisserie à Tournai
2007 :
Silly : Parcours d’artistes
Mons : Sélection à l’exposition « Tremplin » ( travaux de fin d’études de l’année 2007 des étudiants en art appliqué et design issus des écoles d’art de Wallonie et Bruxelles )

Grâce à des fils de métaux différents , de couleurs et rigidités diverses, auxquels elle applique les techniques de la tapisserie, de la ligature, de la soudure et de la sculpture, Nadia M’Nasri donne à ses œuvres, de toute dimension, non seulement de la transparence, mais aussi de multiples significations, variant à l’infini, à l’unisson de la lumière.
Ses assemblages veulent rappeler les formes multiples du monde extérieur, selon elle, analogues à nos vies, toutes faites de méandres et liens divers , jamais univoques. La capture plastique qu’elle en fait, à la fois les fige et les reconstruit.

 

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